Biographie
Ça a commencé en 2008, dans un sous-sol de soirées qui finissaient trop peu dans Hochelaga. Pis si c’est plus ça désormais, c’est important que ça l’ait été. C’est une affaire de contingence, de résilience peut-être, d’attribution d’une partie de la vie de chacun. Ça fait 10 ans
Ça a commencé en 2008, dans un sous-sol de soirées qui finissaient trop peu dans Hochelaga. Pis si c’est plus ça désormais, c’est important que ça l’ait été. C’est une affaire de contingence, de résilience peut-être, d’attribution d’une partie de la vie de chacun. Ça fait 10 ans. Y a ben des affaires qui ont changé. Y a encore une fille pis quatre garçons, sauf que c’est pas toutes et tous les mêmes. Les nuits finissent mieux, rapport qu’elles finissent. Pis y a de quoi, un confluent d’acharnement, de passion, et de condamnation, peut-être aussi, qui fait que, à travers les éviers bouchés et l’accomplissement autonome, c’est toujours après se passer.
Le groupe a fait paraître trois albums et un EP, d’un rock affleurant du garage pour s’affilier des mélodies 90s, succinct mais pas garroché, réfléchi mais urgent, réfléchi dans l’urgence. Un exercice de tensions et d’essences qui s’est développé à travers Une belle table (Indépendant, 2010), un split EP avec The Peelies (Planet Of The Tapes, 2011), "Le grain d’or" (Indépendant / Sainte Cécile, 2014 - primé au GAMIQ 2014 comme Album rock de l’année) puis, on est rendu là, Daniel (Blow The Fuse, 2018) - tout ça pas mal tout le temps appuyé par le bon Jean-Michel Coutu (PyPy, I.D.A.L.G., Corridor, Crabe) à la réalisation et au mixage. Les scènes écumées, elles, vont de Osheaga au CMJ Music Marathon et à Iceland Airwaves.
Présentement, Jesuslesfilles, c’est Martin Blackburn à la guitare et à la voix, Yuki Berthiaume (aussi d’I.D.A.L.G.) à l’autre voix, Philippe Hamelin à l’autre guitare, Guillaume Chiasson (aussi de Ponctuation et Solids) à la basse et Benoit Poirier aux tambours.
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